Le Can Manufacturers Institute (CMI) et la Household and Commercial Products Association (HCPA) ont uni leurs forces pour lancer une initiative de recyclage des aérosols avec le soutien de près de 20 entreprises américaines. tout au long de la chaîne de valeur des aérosols pour accroître l’accès au recyclage des aérosols et aux messages sur la recyclabilité figurant sur les emballages.

L’objectif est d’atteindre, d’ici à 2030, un taux d’accès au recyclage d’au moins 85 % pour toutes les boîtes d’aérosol et d’étiqueter au moins 90 % des aérosols comme étant recyclables avec des messages sur la manière de les recycler correctement.

Nicholas Georges, premier vice-président des affaires scientifiques et internationales de l’HCPA, confirme que « les bombes aérosol continuent de fournir les emballages recyclables que les consommateurs exigent de plus en plus, mais que trop peu de ménages américains ont accès à un programme de recyclage qui accepte ces produits », ajoutant que « l’industrie des aérosols collabore entre elle, avec les associations commerciales alliées et avec des partenaires externes pour entreprendre diverses activités qui permettront à davantage de ménages de recycler leurs bombes aérosol d’une manière plus pratique.

À cet égard, le CMI et le HCPA emploient respectivement une équipe d’experts afin de mettre en œuvre les activités de la première année de l’initiative. Les MRF effectuent l’important travail de tri des produits recyclables à flux unique. Un autre membre de l’équipe, Eunomia Research & Consulting, est un cabinet de conseil axé sur les données et spécialisé dans l’obtention de meilleurs résultats environnementaux. Jensen Hughes participe également en fournissant une expertise technique en matière de sécurité grâce à son personnel d’ingénieurs et de scientifiques.

« L’industrie des aérosols s’est associée de manière proactive à une équipe d’experts pour s’assurer que l’aluminium et l’acier infiniment recyclables des bombes aérosol restent en usage », confirme Scott Breen, vice-président de la durabilité du CMI. « Cela permettra de réduire considérablement la quantité de déchets qui finissent dans les décharges et aidera davantage la société à parvenir à une économie plus circulaire », conclut M. Breen.